L’association et le château

Le château royal de Montargis acquis par Madame de Clerval en 1896 est remis en vente en 1897.

Monsieur le chanoine Bourgerie, Curé de Montargis convint Madame Huchet de Cintré née de Vaublanc en 1897 de l’acquérir pour y installer un lycée (Montargis n’en possède pas) devant préparer aux écoles d’ingénieurs.

Elle apporte les fonds à Monsieur le chanoine Bourgerie. Quelle mauvaise idée !! On est pleine campagne politique contre l’Eglise et ses instituts d’enseignements. La communauté enseignante qui devait s’installer en 1898 décline sa venue parce qu’elle est condamnée par l’Etat et doit s’exiler ; elle part au Canada où elle y est toujours. 1904 et 1905 sont des années difficiles et Madame Huchet de Cintré se voit dans l’obligation de racheter une deuxième fois le château à M. L’abbé Bourgerie pour éviter sa mise sous séquestre et sa vente et y maintenir le lycée.

A la fin de la guerre, en juin 1919, et  peu de temps avant son décès, elle donne sa propriété et les maisons de rapports dont le produit soutenait matériellement la vie quotidienne de l’institution  à son Directeur revenu de la guerre, Monsieur l’abbé Victor Lane.

En 1934, il décide de diviser la propriété et d’en céder une partie, la plus vitale pour le Lycée,  aux anciens élèves qui créent à cette occasion la SCI du château de Montargis et achète cette partie pour 300 000 francs soit 210 421 € 2017. Y sont associés quelques professeurs.

En 2010, les anciens élèves créent le Fonds de dotation château royal de Montargis et décident de faire apport des parts qu’ils détiennent dans la SCI à ce fonds lui permettant ainsi de créer sa dotation.

En 2018, les anciens, propriétaire d’une des deux guérites qui fermaient la cour princière anciennement royale depuis que Monsieur, Frère du Roi Louis XIV, les avait fait érigées, cette guérite devenue chapelle à la mémoire des anciens morts durant les guerres que la France entrepris durant le 20ème siècle est placée sous le vocable de Saint-Michel archange, ange gardien et protecteur de la France depuis le sacre de Clovis a été apportée au Fonds. 

En 2018, les anciens, propriétaire d’une des deux guérites qui fermaient la cour princière anciennement royale depuis que Monsieur, Frère du Roi Louis XIV, les avait fait érigées, cette guérite devenue chapelle à la mémoire des anciens morts durant les guerres que la France entrepris durant le 20ème siècle est placée sous le vocable de Saint-Michel archange, ange gardien et protecteur de la France depuis le sacre de Clovis a été apportée au Fonds.

En 2018, septembre, fermeture du Lycée d’enseignement général marquant ainsi le fin de l’établissement : 1898-2018.

En 2020 le château est mis aux enchères du fait que le locataire, l’Ogec Saint-Louis, par ailleurs malfrat, détenant des liquidités (près de 1 million d’euro en 2023) liquidité en ne payant pas ce qui était dû à son propriétaire , la SCI du château de Montargis, propriété des anciens élèves, L’acheteur s’avère être le diocèse d’Orléans via la Fondation culture et promotion. Par des applaudissements au tribunal les malfrats fêtaient cet acquisition que les anciens ont laissé faire car personne ne croit à l’avenir de cette école, notre Saint-Louis

En 2022, en septembre fermeture de l’école hôtelière, quand la mauvaise monnaie quoi a chassé la bonne est elle-même mise au rencart de l’Histoire.

En 2023, tous les locaux de la cour royale (préfabriqués sont vidés et sont loués à compter de septembre à des associations pour certaines sportives dont aucune ne satisfait aux buts de la Fondation culture et promotion…

Je suis Michel, le gardien de la France

Grand général au royaume des Cieux

Jusqu’aux enfers j’exerce ma puissance,

Et le démon est tout envieux

Jadis aussi Très brillant de lumière,

Satan voulut régner dans le saint lieu.

Mais je lançais comme un bruit de tonnerre

Ces mots « Qui est comme Dieu ? »

 

Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, Docteur de l’église

Patronne secondaire de la France par SS Pie XII en mai 1944

 

Ne me derelinquas, mittissime angelorum, dormiendo,
sed in sompnis mihi veniant tuorum consiliorum judicia ;
nec vigilando me dimittas,
sed tue sancte inspirationes meum illuminent et apperiant intellectum

Ne m’abandonne pas, toi le plus doux des anges, pendant le sommeil,
mais que viennent à moi en songe des jugements qui procèdent de tes avis ;
ne t’éloigne pas de moi quand je veille,
mais que tes saintes inspirations illuminent et ouvrent mon intelligence